La minute Loup-Phoque du Loup-Blanc du 12/05/08

 

 

 

 

 

Le mec cherche du boulot, il va voir le directeur du Moulin-Rouge…

 

Le directeur demande :

– Pétomane, Pétomane… Mais encore ? C’est quoi votre répertoire ?

– Tout de la Marseillaise, à la 5ème de Beethoven, en passant par la Lambada !

-Ah ! Bon ? Montrez-moi !

Et là, le mec se défroque et commence à faire un super estronc sur la moquette de 10 cm de haut …

Mais vous êtes dégueulasse !!!!!!!!!!!!!!!!!

– Bin oui, faut bien que je m’éclaircisse la gorge!

 

 

 

 

Dicton Loup-Phoque :

 

Ceux qui ne connaissent pas leur histoire s’exposent à ce qu’elle recommence…  

 

 

 

 

La maxime Loup-Phoque :

 

 Les résistants hésitent. Les hésitants résistent !

 

 

 

 

Le proverbe Loup-Phoque :

 

 Si tu sais te supporter, tu supporteras mieux les autres…

 

    

 

La réflexion Loup-Phoque du jour :

 

 Les hommes et les nations agiront rationnellement quand toutes les autres possibilités auront été épuisées.

 

 

 

 

 

Blagues Loup-Phoque du jour

• Un français et allemand sont assis sur banc l’allemand dit:
  – Oh un guêpe
  – Non! une guêpe lui dit le français
  – Vous avez de bon yeux lui répond l’allemand"

 

 

• Une dame a écouté avec intérêt le baratin d’un courtier venu lui proposer d’assurer sa villa contre l’incendie.
  – Si vous étiez malin, lui dit-elle, vous donneriez en prime un petit cadeau. Je ne sais pas, moi: une boîte d’allumettes ou un beau briquet.

 

 

• A Cannes, en pleine saison, un couple de touristes cherche désespérément une chambre. Dans un grand hôtel de la Croisette, le chef de la réception leur dit:
  – Si vous voulez, il me reste la suite nuptiale.
  – Je ne suis pas sûr que ça convienne, répond l’homme. Nous sommes un vieux ménage marié depuis plus de trente ans?
  – Où est le problème? fait le réceptionniste. Si je vous proposais la salle de bal, vous danseriez toute la nuit?

 

 

 

Enfants, Blaguounette du jour :

 

Quand j’étais plus jeune, je détestais aller aux mariages parce que mes vieilles tantes et mes grands-parents venaient près de moi, me donnaient une grande claque amicale dans le dos en lançant un joyeux : "T’es l’prochain !".
Ils ont arrêté cette stupide blague quand j’ai commencé à leur dire la même chose aux enterrements.